Résumé de section

    • Vous trouverez ci-dessous les modalités d'évaluation pour le module A du cours de littérature :
      - exposé oral à préparer par deux en choisissant un livre dans la bibliographie (liste) dans le document ci-dessous. Vous devrez choisir entre faire votre exposé dans le module A ou dans le module B
      - écriture longue personnelle à partir du livre  La Place d'Annie Ernaux, à acheter en collection FOLIO


    • Voici la grille d'évaluation que j'utiliserai pour évaluer vos oraux.

    • Des petits trucs pour vous aider à améliorer votre lecture à haute voix.

    • Premier thème étudié : thème de l'identité

      De quoi est constituée notre identité, ce qui fait que nous sommes nous ?

      De notre prénom, de notre nom de famille, de notre nationalité (ou double-nationalité) : de notre état civil, en somme. Mais aussi de notre apparence physique, de notre accent, de notre manière de nous habiller, de nous exprimer, de bouger. Il y a aussi tout ce que les autres projettent sur nous en raison de notre nom, de notre apparence, des stéréotypes (clichés) qui nourrissent les imaginaires. Et qui ne coïncident pas forcément avec la représentation que nous avons de nous-mêmes.

    • Voici le recueil de textes que nous allons étudier en classe. D'une séance sur l'autre, il faudra lire le texte que je vous indiquerai, de manière à arriver en classe en l'ayant compris (voir fiche descriptive du cours). Des notes de vocabulaire sont là pour faciliter votre compréhension !  Il faudra également préparer la lecture à voix haute d'un court passage du texte que nous viendrons juste d'étudier en classe.

    • Les trois premiers textes du dossier 1 (Interroger son identité) lus et analysés en classe.

    • Des cartes mentales (ou mindmaps) pour orienter vos recherches sur les trois  extraits de "Tenir sa langue" de Polina Panassenko.

    • Un éclairage sur ce premier roman : pourquoi ce titre ? Pourquoi cette question du prénom que porte la narratrice a t-elle une telle importance ?

    • Je vous conseille d'écouter ce podcast qui présente des ressemblances avec l'histoire racontée par Polina Panassenko, même si les faits se déroulent bien avant, dans les années 60. Mohammed Guerroumi a 13 ans lorsqu'il quitte l'Algérie pour arriver en France. Comme son père ne peut pas s'occuper de lui ni de ses frères, il rejoint un foyer géré par des éducateurs et c'est à ce moment-là que les services sociaux changent son prénom et son nom. Il devient Jean-Pierre Guérin. Mohammed entame en 1974 des démarches devant le tribunal administratif pour tenter de retrouver son nom, mais cela lui est refusé. Jusqu'à ce qu'en 2022, à la faveur d'une nouvelle loi, il puisse enfin retrouver son identité. Il raconte un chemin douloureux, une réelle souffrance liée à cette privation d'identité.

    • Le premier texte évoque l'évidence de la langue maternelle et du langage non-verbal 'parlé' par des corps qui nous sont familiers.

      Le second textei parle de ce que c'est le "mal du pays", plus seulement du point de vue de la langue maternelle, mais de manière plus large.

      Enfin,  je vous propose une sélection de peintures primitives haïtiennes, peintures qu'évoque Dany Laferrière dans son interview sur TV5 MONDE, en les comparant à son propre style . 

    • Dans cette interview, Dany Laferrière donne la signification du titre mystérieux de son livre paru en 2018, Pays sans chapeau.

      Il évoque aussi Haïti, la misère du pays qui pousse les habitants de l'île des Caraïbes à vivre de plus en plus dans leur imaginaire...

    • Voici un compte-rendu de lecture des deux textes vus en classe.

    • L'autrice y explique le titre énigmatique de sa bande dessinée : Paris n'est pas une île déserte.

      • Les planches de BD en plus grand
      • Un bilan de l'analyse des stéréotypes sur le Liban dont se moque l'autrice
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