Aperçu des sections
Cher.es étudiant.es,
L'UE de Littérature FLC0702T Littérature (année 4) est en deux modules :
- Module A (cours de Cécile Bérichel)
- Module B (cours de Chantal Dompmartin et François Le Goff).
Pour accéder à ces deux cours, consultez directement chaque partie dans IRIS.
MODULE A / Cécile Bérichel / 2023-2024
INFORMATION CONCERNANT LE PARTIEL 2/ Module A
Le partiel de janvier du Module A portera sur le thème de l'identité. Des comptes-rendus de chaque analyse sont disponibles sur l'ENT. L'examen comportera deux parties : un texte à analyser (non vu en cours) d'un des auteurs au programme, à partir de questions. Puis deux questions de cours sur les textes vus en cours (textes du premier livret).
Étudiant.e.s en Contrôle continu (uniquement) :
Vous trouverez derrière ce lien un tableau partagé : inscrivez vous (par 2) à une date pour présenter le texte que vous aurez choisi devant la classe. Deux groupes seulement par séance (soit 4 étudiant.e.s au total). Durée de l'exposé : 20 minutes maximum. Attention, il y a un tableau pour chaque groupe de l'année 4 (Groupe 1, Groupe 2, Groupe 3) ! Il y a un onglet par groupe. Les consignes pour l'exposé sont à retrouver dans le document module A_descriptif du cours _ modalités_générales (document juste en-dessous).
Vous trouverez dans ce document un descriptif du cours de littérature-module A : déroulé d'une séance, travail personnel à faire, modalités d'évaluation.
Des petits trucs pour vous aider à améliorer votre lecture à haute voix.
Pour les étudiants en Contrôle continu qui choisissent de faire un oral sur la partie A (oral préparé et passé par 2), voici une liste de romans sur le thème de l'identité, parmi lesquels vous pouvez faire un choix. Vous avez aussi la possibilité de choisir un extrait d'un roman étudié en cours.
Premier thème étudié : thème de l'identité
De quoi est constituée notre identité, ce qui fait que nous sommes nous ?
De notre prénom, de notre nom de famille, de notre nationalité (ou double-nationalité) : de notre état civil, en somme. Mais aussi de notre apparence physique, de notre accent, de notre manière de nous habiller, de nous exprimer, de bouger. Il y a aussi tout ce que les autres projettent sur nous en raison de notre nom, de notre apparence, des stéréotypes (clichés) qui nourrissent les imaginaires. Et qui ne coïncident pas forcément avec la représentation que nous avons de nous-mêmes.
Voici le premier recueil de textes que nous allons étudier en classe. D'une séance sur l'autre, il faudra lire le texte que je vous indiquerai, de manière à arriver en classe en l'ayant compris (voir fiche descriptive du cours). Des notes de vocabulaire sont là pour faciliter votre compréhension !
Les deux premiers textes du dossier 1 (Interroger son identité) lus et analysés en classe.
Un éclairage sur ce premier roman : pourquoi ce titre ? Pourquoi cette question du prénom que porte la narratrice a t-elle une telle importance ?
Vous trouverez dans ce document un résumé des échanges qui ont eu lieu en classe à propos des deux extraits du récent roman de Polina Panassenko
Un premier texte que vous trouvez page 6 de votre livret et qui évoque l'évidence de la langue maternelle et du langage non-verbal 'parlé' par des corps qui nous sont familiers.
Et un second texte que j'ai distribué en classe et qui parle de ce que c'est le "mal du pays", plus seulement du point de vue de la langue maternelle, mais de manière plus large.
Enfin, une sélection de peintures primitives haïtiennes, peintures qu'évoque Dany Laferrière dans son interview sur TV5 MONDE, en les comparant à son propre style .
Dans cette interview, Dany Laferrière donne la signification du titre mystérieux de son livre paru en 2018, Pays sans chapeau.
Il évoque aussi Haïti, la misère du pays qui pousse les habitants de l'île des Caraïbes à vivre de plus en plus dans leur imaginaire...
Voici un compte-rendu de lecture des deux textes vus en classe.
Vers l'âge de dix ans, Riad prend de la distance par rapport au discours de son père car il grandit. Écartelé entre deux cultures antagonistes (la culture occidentale athée et la culture musulmane syrienne), il ne sait pas très bien où est sa place et à quelles valeurs il doit adhérer. En fait, il ne comprend rien aux discours des adultes. Riad Satouf sait très bien retrouver le point de vue de l’enfant qu'il fut. Un enfant qui grandit et perd ses illusions. C’est l’histoire du passage de l’enfance à l’adolescence. L'antisémitisme du père et de la population du petit village syrien près de Homs peut choquer, mais Riad Satouf ne s'est pas censuré, il raconte les choses telles qu'il les a vécues.
Une vidéo explicative par un jeune journaliste qui fait un bon travail de synthèse.
Un compte-rendu des principaux points abordés pendant le cours.
Maryam Madjidi parle de son dernier roman qui raconte son adolescence en banlieue parisienne
Une publicité des années 80-90 du 20e siècle dont le slogan est devenu célèbre : "Parce que je le vaux bien".
Dans cette émission, des femmes témoignent de leur difficulté à accepter leurs cheveux crépus.
Les principaux éléments d'analyse développés pendant le cours.
L'autrice y explique le titre énigmatique de sa bande dessinée : Paris n'est pas une île déserte.
- Les planches de BD en plus grand
- Un bilan de l'analyse des stéréotypes sur le Liban dont se moque l'autrice
Edouard Louis, de son vrai nom Eddy Bellegueule, explique pourquoi il a changé de patronyme. Il évoque le contexte de violence généralisée dans lequel il a grandi.
Quelques points de l'analyse faite en classe sur cet extrait.
Le travail à l'usine, le travail peu qualifié (à travers l'expérience d'un vigile) : ce qu'il fait aux corps et aux esprits. Le livret contenant tous les textes qui seront étudiés ou à lire.
L'expérience racontée par ce professeur de philosophie, qui s'est fait embaucher à l'usine Citroën dans les années 70, a été adaptée au cinéma l'an dernier, en 2022. Voici la bande-annonce du film, qui est assez fidèle au livre.
Compte-rendu de lecture
L'interview de Joseph Ponthus, l'auteur du roman autobiographique "A la ligne".
Après avoir regardé la longue interview donnée par Joseph Ponthus au journaliste de l'émission La grande Librairie lors de la parution de son livre (2019), répondez aux questions posées dans ce document avant la séance consacrée à l'extrait de A la ligne (pages 6 à 8). Je vous ai mis des repères temporels.
Voici un corrigé avec les réponses données par Joseph Ponthus à propos de son expérience à l'usine et de son premier roman écrit en vers libres "A la ligne".
Regardez l'interview et répondez aux questions ci-dessous !
Un certain nombre de thèmes abordés par Gauz dans ce texte.
Le père entre deux mondes
Module B- C. DOMPMARTIN/ F LE GOFF 2023-24
chantal.dompmartin@univ-tlse2.fr vous invite à une réunion Zoom planifiée.
Sujet: exposés LFF 8 décembre
Heure: 8 déc. 2023 09:00 AM Paris
Rejoindre Zoom Réunion
https://univ-tlse2.zoom.us/j/4710231616?pwd=WS9HWm0zUEsxdDNPeEp0Ymp6WUUvUT09&omn=99190172590
ID de réunion: 471 023 1616
Code secret: 990785